visites medicales
[pdf-ppt-viewer href=”http://www.insas.be/site/wp-content/uploads/Visites.pdf” width=”600″ height=”900″]
Articles dans la catégorie ‘Information administrative’
BIFF (suite)
Le réalisateur Jake West (°1972, UK) supervisera le workshop du BIFFF 2011.
Le weekend du 15 et 16 janvier 2011 : choix des 2 meilleurs scénarii et constitution des équipes…
Jake West est un grand spécialiste des comédies d’horreur…
A son actif :
Razor Blade Smile (1998) : http://www.variety.com/review/VE1117913577?refcatid=31
Evil Aliens (BIFFF 2005) : http://www.fearnet.com/news/reviews/b8175_evil_aliens_2005.html
Doghouse (2009) : http://twitchfilm.com/reviews/2010/07/fantasia-2010-doghouse-review.php
BIFF – Participation
Bonjour à vous tous,
A ce jour aucune nouvelle de votre part quant à la participation aux tournages des deux prochains courts-métrages du BIFFF….
Une réunion d’information est prévue le 13 décembre prochain à 16h30 au Rits…
Merci de me donner (par courriel de préférence) les noms des étudiants qui veulent participer à cette aventure du fantastique…
Sabine Bourgeois
INSAS
Chef du Bureau d’Etudes et de Production
ligne directe : 32-(0)2- 549 01 80
mobile : 32-(0)479 89 09 49
Cours ouvert BA2T/ID
La classe BA2T/ID vous invite aux présentations “Écriture(s)-mise en jeu” sous la direction de Virginie Thirion
- Mercredi 3 novembre de 14h00 à 19h00 (1ère partie)
- Jeudi 4 novembre de 14h00 à 19h00 (2ème partie)
Rdv dans le hall de Rabelais
1 rue Jules Bouillon
1050 Ixelles
BROCANTE A RABELAIS
Le Conseil Etudiant organise une “Brocante” le samedi 20 novembre de 13h à 17h dans le Hall de Rabelais
Tous les membres de la communauté INSAS, peuvent participer à cet évènement.
C’est l’occasion pour chacun de vider sa maison des babioles devenues inutiles pour les remplacer par de nouvelles merveilles.
Les bons cuisiniers qui n’ont rien à vendre peuvent venir tenir un stand “goûter”.
Pour tenir un stand inscrivez-vous avant le 8 novembre auprès d’un membre du CE ou par mail à conseiletudiant@insas.be
Régularisation inscription
Pour être régulièrement inscrits, les étudiants doivent signer leur inscription académique.
Merci de vous présenter au secrétariat des étudiants
Réduction étudiants au KVS
Le profpas du KVS coûte 30 euros, il est strictement personnel et est valable pendant une seule saison culturelle (de début septembre 2010 à fin 2011).
Sur simple présentation du profpas, les étudiants reçoivent une place gratuite pour les spectacles repris dans la liste ci-dessous.
- 32, Rue Vandenbranden
- Europese Grondwet
- In de Strafkolonie/Het Hol
- Dure Woorden (Behoud de Begeerte)
- Van Plato tot Nato
- Hill of Shame
- Barakstad
- Geletterde Mensen Tom Naegels
- Bezette Stad
- Dieven
- Missie
- Saint Amour
- Mishalle
- Rue du Croissant
- Gregoria
- Les Inepties Volantes
- Bérénice
- Vorst/Forest
- Je zal alles worden
- Weg
- Close
- Kunstwerk
Pour se procurer un profpas, merci de bien vouloir faire parvenir vos coordonnées nom, adresse, numéro de téléphone et e-mail à benedicte.bracke@insas.be
Chaque étudiant règlera son profpas individuellement, par un virement de 30 euros sur le compte numéro 210-0202530-46, avec pour communication :
Profpas + Nom de l’étudiant.
Le profpas sera envoyé à l’adresse de l’étudiant dès réception de ce virement.
Les étudiants munis d’un profpas peuvent réserver à l’avance
dès septembre pour les spectacles à l’affiche jusqu’en décembre,
dès janvier pour les spectacles à l’affiche jusqu’en juin.
Meilleur spectacle aux Prix de la Critique 2010
R.W. (premier dialogue), mis en scène par Pascal Crochet, est couronné meilleur spectacle aux Prix de la Critique 2010.
Avec Anna Cervinka, François Delcambre, Cécile Leburton, Thierry Lefèvre, Etienne Van der Belen et Simon Wauters.
Heureuse coïncidence, la deuxième partie de la pièce R.W. (deuxième dialogue) se joue en ce moment au Rideau porté par la même équipe de création.
Soulignons au passage dans la participation active de la pièce, notre assistante éclairagiste Florence Richard .
http://www.lesoir.be/culture/scenes/2010-10-12/les-prix-de-la-critique-fetent-la-scene-797835.php
R.W. (deuxième dialogue) : Les 14, 15, 16 octobre à 20h30.
Mercredi 13 octobre à 19h30, représentation suivie d’une rencontre avec l’équipe du spectacle.
Dimanche 17 octobre à 15h.
R.W. (premier et deuxième dialogues) : Les 19, 20 et 21 octobre à 19h30
Tarifs étudiants 3 euros – Réservation 02 507 83 61 www.rideaudebruxelles.be
Accueil des nouveaux étudiants
L’accueil des nouveaux étudiants admis à l’INSAS se déroulera ce lundi 20 septembre 2010 à 10h00 au site Rabelais, rue Jule Bouillon, 1 à 1050 Bruxelles.
Quel avenir pour les écoles supérieures des arts ?
“MORT OU VIF ? Quel avenir pour les écoles supérieures des arts en Communauté française ?” Tel est le titre de la contribution de 11 directeurs et directeurs adjoints d’écoles supérieures des arts de la Communauté française au débat en cours sur l’évolution du “paysage institutionnel” de l’enseignement supérieur. L’INSAS est largement associée à cette analyse et au projet de création d’un “pôle thématique des arts”. Ce texte à été approuvé par le CGP du 29 juin.
La réunion des directeurs des ESA de l’Enseignement officiel du 10 mai 2010 a mis en évidence l’urgence de développer un argumentaire montrant les dangers de l’intégration des ESA dans l’université et plaidant pour la création d’un « pôle thématique des arts » commun à tous. Ce pôle thématique n’exclut pas, au contraire, toutes formes de rapprochements avec les pôles universitaires, régionaux ou confessionnels. Il en va de la survie de la création artistique en Communauté française et des spécificités de l’enseignement artistique. L’enjeu dépasse en effet les intérêts particuliers des écoles ou d’une corporation, pour toucher la problématique même de la création artistique et culturelle en Communauté française dans les années qui viennent.
I. INTEGRATION A L’UNIVERSITE ?
Une tendance lourde
Les ESA observent que la tendance lourde qui prévaut actuellement est de rapprocher tous les enseignements supérieurs autour de pôles avec, en conséquence, une absorption progressive des écoles au sein de mégastructures centralisatrices, normatives … et gouvernées par l’université. Cette tendance apparaît inévitable, « naturelle », inscrite dans le cours des choses au niveau européen; au point qu’elle suscite peu de débats sur le fond. Concrètement, ceci pourrait se traduire en Communauté française par 4 Pouvoirs organisateurs, autour de 4 pôles universitaires.
La méthode
La méthode utilisée fonctionne « en entonnoir » : les garanties d’autonomie sont données au départ à chaque partenaire, mais elles seront vraisemblablement supprimées par étapes selon des logiques comptables, des principes de marketing et des postulats de rationalisation, les processus de fusion diluant progressivement les singularités des enseignements minoritaires au sein de grands ensembles plus ou moins normalisés. L’existence même de l’enseignement supérieur artistique est menacée par ce processus. Ce qui est en jeu, c’est le démantèlement –par ajustements successifs– du corpus législatif qui organise cet enseignement et garantit sa spécificité : le décret « fondateur » du 17 mai 1999, celui du 20 décembre 2001, et leurs arrêtés d’application. Ce schéma a déjà été observé dans plusieurs pays européens, avec un réel appauvrissement, voire une disparition de la spécificité de la pédagogie de l’art –de ses méthodes, de ses objectifs, de ses ressources .
Ce qui sera perdu, au nom de l’harmonisation :
- la singularité et la différenciation volontaire des projets pédagogiques et artistiques de chaque école encourageant, a contrario de toute normalisation, la « répétition différente » des mêmes enseignements dans les écoles – l’enseignement individualisé, fondé sur un processus inédit associant recherche et création – la pédagogie par projets
- le financement spécifique et la logique d’excellence qu’il sous-tend, permettant de ne pas sanctionner les options « pointues » accueillant un nombre restreint d’étudiants – les normes d’encadrement et la spécificité du statut des enseignants artistes qui permet de conjuguer les deux aspects consubstantiels de leur métier et garantit la prévalence de la pratique artistique sur le diplôme (notoriété) – l’épreuve d’admission qui permet non seulement l’orientation des étudiants en début de parcours, mais garantit également l’enseignement individualisé – la nature artistique des travaux de fin d’études et leur sanction par des jurys d’artistes et professionnels extérieurs – les passerelles individualisées avec évaluation au cas par cas – la représentativité actuelle des ESA au sein des pôles universitaires – la représentativité des ESA au sein de l’enseignement supérieur – le Conseil supérieur de l’enseignement supérieur artistique (disparition déjà programmée), sans qu’une autre entité de conseil ne puisse faire entendre la voix collégiale des ESA, et la dilution de petites unités artistiques dans chacun des grands ensembles universitaires – etc.
Bref, la perte du cadre légal garantissant les spécificités pédagogiques, d’encadrement, de financement et de représentation des ESA au sein de l’enseignement supérieur.
Mais aussi, la perte :
- de souplesse d’initiative et d’inventivité propres aux unités de taille réduite, et indispensables aux écoles d’art – de la reconnaissance de la capacité des ESA à innover en matière de pédagogie et de mécanisme institutionnel, de leur rôle de « laboratoire pédagogique » tel que défini par le décret du 17 mai 1999, article 3 : « L’enseignement artistique dispensé dans l’enseignement supérieur se doit d’être un lieu multidisciplinaire de recherche et de création dans lesquels les arts et leur enseignement s’inventent de manière indissociable. Les arts qui s’y développent sont non seulement envisagés comme productions sociales mais également comme agents sociaux qui participent à la connaissance, à l’évolution et à la transformation de la société. En prise sur les leçons des arts passés et contemporains, sur la pensée et les sciences, l’enseignement de l’art est prospectif, il stimule l’ouverture au futur, à l’inédit. »
et l’apparition de contraintes nouvelles :
- de recrutement, liées à la détention d’un doctorat universitaire pour accéder au statut de professeur – financières, liées au minerval universitaire avec les discriminations sociales qu’il entraîne – administratives, caractéristiques des grandes structures, avec les lourdeurs et les lenteurs dans la circulation des informations et la prise de décisions.
II. UN PÔLE THEMATIQUE DES ARTS !
Un dénominateur commun
Il est capital que les ESA se regroupent toutes pour affirmer la spécificité « irréductible » de l’enseignement artistique, tous domaines, toutes implantations et tous réseaux confondus. C’est dans cette unité, autour de ce dénominateur commun, qu’elles parviendront à faire respecter la singularité de leur enseignement et, partant, de l’art dans la société : il y va de la survie de la création artistique et culturelle en Communauté française.
Le concept de « pôle thématique »
Un pôle thématique des arts regroupant les domaines et les pratiques plurielles de toutes les ESA doit être créé, parallèlement à l’adossement choisi de chaque ESA à un pôle universitaire, régional ou confessionnel. D’autres types d’enseignement supérieur pourraient également, eu égard à leurs spécificités, revendiquer et obtenir la reconnaissance d’autres pôles thématiques.
Le pôle thématique s’inscrit en tout point dans le cadre défini pour les « pôles académiques » par le groupe de travail Paysage institutionnel de la Table ronde de l’enseignement supérieur : il en rencontre les objectifs et en partage les modalités de gouvernance.
Des compétences
Le pôle thématique des arts pourrait se poser en interlocuteur incontournable des instances politiques et académiques. Les compétences qui lui seraient reconnues concerneraient prioritairement la sauvegarde et l’évolution, à la demande des ESA, d’un cadre réglementaire spécifique à l’enseignement supérieur artistique.
Des services partagés
Le pôle thématique des arts pourrait également se voir confier un certain nombre de compétences en termes de services administratifs, juridiques et sociaux, d’équipements et de services aux étudiants, d’organisation, d’évaluation de la qualité, mais aussi de la recherche artistique.
L’adossement aux universités
Ces compétences pourraient, au cas par cas, être partagées ou déléguées aux pôles universitaires auxquels les ESA seraient par ailleurs adossées. Cet adossement à l’université pourrait, comme c’est déjà le cas aujourd’hui, s’étendre à la mutualisation de certains cours, de certaines activités d’apprentissage ou de recherche transdisciplinaires –selon des modalités propres à chaque ESA et chaque pôle, mais sans remettre en cause la spécificité de l’enseignement supérieur artistique ni de son cadre légal.
Un langage commun Il est préférable de débattre entre écoles partageant le même langage et les mêmes fondements pédagogiques, plutôt que d’être réduits au silence dans des mégastructures qui ne tiendront plus compte d’unités devenues trop marginales dans leurs pratiques et leur discours.
Des précédents
Le pôle thématique des arts pourrait prendre exemple sur des structures de rassemblement comparables à l’étranger telles les Universités des Arts de Londres ou de Berlin, qui ont réussi à se constituer à égalité avec les universités traditionnelles. Ceci leur a permis de développer des pédagogies spécifiques à l’art, innovantes et extrêmement performantes en termes de création artistique. Ces universités thématiques délivrent des doctorats en art établis suivant des critères propres à la recherche artistique. L’urgence Que les tutelles politiques aient ou non une idée déjà arrêtée des configurations futures, il est urgent de formuler clairement auprès du Ministre ayant en charge l’Enseignement supérieur les objectifs de ce « pôle thématique des arts» qui rencontrerait non seulement les objectifs de lisibilité et de synergies recherchés par le gouvernement de la Communauté française2, mais constituerait aussi une avancée spectaculaire dans l’organisation de l’enseignement supérieur, la perception de ses hiérarchies traditionnelles et l’invention de modalités pédagogiques inédites.
En leurs noms propres et en leur qualité d’experts, Jean-Pierre Benon, directeur de l’ESAPV Vincent Cartuyvels, directeur Le 75 Frédéric de Roos, directeur CrB Gérard Fasoli, directeur ESAC Laurent Gross, directeur INSAS Nathanaël Harcq, directeur adjoint CrL Vincent Heylen, directeur adjoint CrB Jean-Luc Metten, directeur adjoint ENSAV La Cambre Caroline Mierop, directrice ENSAV La Cambre Marc Partouche, directeur ARBA-ESA Patrick Robert, directeur adjoint CrM
01.06.10
A lire et à méditer : en PDF : pôle thématique des arts
Résultats de session et fermeture
Les résultats peuvent être obtenus au secrétariat à partir du 1er juillet. L’insas est fermée du 26 juillet au 16 août.
La rentrée démarre dès le lundi 13
Avis du bureau d’études et de programmation: ATTENTION Soyez attentifs à vos horaires via l’affichage sur les panneaux du BEP ou sur votre agenda Google car pour certains la rentrée scolaire démarre dès le lundi 13 septembre 2010.
Projection des films des CIN.B3
Les étudiants de 3ème année réalisation cinéma vous invitent à la projection de leurs films à 17h en salle 35mm.
Laboréales Appel aux jeunes diplômés en Arts
Le manège.mons/Maison Folie, initiatrice du projet, et la Bellone organiseront prochainement une sélection de 5 ou 6 projets d’artistes récemment diplômés (2010, 2009, 2008) des écoles d’art de Mons (l’Ecole Supérieure des Arts Plastiques et Visuels – E.S.A.P.V., et le Conservatoire Royal : 3 projets), et de Bruxelles (La Cambre Arts visuels, l’Insas et le Conservatoire : 2 à 3 projets).
Dispositif d’accompagnement de jeunes créateurs dans les domaines des arts vivants et des arts plastiques et visuels, Les Laboréales visent à favoriser la recherche, l’expérimentation et la création artistiques, comme à soutenir l’émergence de nouvelles formes et écritures issues de l’hybridation des disciplines artistiques.
Les artistes dont le projet sera sélectionné seront accueillis en résidence à la Maison Folie et à la Bellone pour mener à bien la réalisation de leur création. Ils bénéficieront également d’une aide financière de 2000€, de l’accompagnement d’un «mentor» de leur choix, d’un espace de travail, d’un encadrement technique et logistique. Des temps de visibilité seront ensuite programmés à la Maison Folie de Mons (dans le cadre du festival “Un Pas de Trop”) et à la Bellone, en mai 2011.
Ces projets originaux traiteront de musique et/ou de théâtre et/ou d’arts plastiques et visuels. Sous forme libre, deux de ces trois disciplines artistiques au moins seront réunies dans un même projet.
Les projets peuvent être individuels ou collectifs, pourront avoir lieu dans les espaces de la Maison Folie et de la Bellone ou dans l’espace public.
Le mentorat est une des spécificités du dispositif d’accompagnement «Les Laboréales». Il s’agit de donner l’opportunité aux artistes d’établir une relation d’échanges avec une personnalité (critique, philosophe, artiste …) dont l’expertise pourra favoriser le développement du projet. Le choix du mentor est laissé aux artistes, il se fera en fonction de leurs besoins. Toutefois, la Maison Folie et la Bellone établiront une liste -non exhaustive- de personnalités pour leur faciliter le choix.
Critères de sélection
La Maison Folie et la Bellone encourageront les formes artistiques les plus originales, novatrices, singulières, hybrides… Des formes impliquant directement ou indirectement la cité et les citoyens.
Déroulement
- faire parvenir un dossier de présentation du projet avant le 15 octobre 2010. formulaire à télécharger ici et à renvoyer par courrier à l’adresse postale mentionnée ci-dessous.
- la sélection des projets sera effectuée par un comité de professionnels pour le 30 octobre.
- les projets sélectionnés seront présentés oralement en présence d’un comité de professionnels dans le courant du mois de novembre. 5 à 6 projets seront retenus.
Un projet à présenter?
Envoyez le dossier avant le 15/10/2010
par courrier uniquement à: Manège.Mons/Maison Folie, 4a rue des Sœurs Noires – 7000 Mons
Aide à la production et finition CPC
Aides à la production, à la finition pour les producteurs et les realisateurs de documentaires du Centre de Promotion Culturelle.
Session 16 août 2010
Comment fonctionne l’aide à la production au CPC ?
Le Groupe de lecture se réunit plusieurs fois par an pour sélectionner les projets qui pourront bénéficier de nos services de production. Les aides apportées par le CPC sont exclusivement des aides en services et/ou en matériel. Le CPC accorde des aides à la production en personnel et en matériel pour les postes suivants : prise de vue, montage image, étalonnage.
Le montant de l aide accordée sera évalué par l’équipe de production du CPC. Ces aides sont ensuite valorisées au tarif appliqué de location du CPC. Si le projet bénéficie à la date de dépôt du dossier d’une promesse de financement (acquise dans le plan de financement) ou d’un financement supérieur à 10.000 euro (aide à l’écriture et au développement exclus) le total de l’aide (valable sur tous les services) est limité à 10.000 euro (poste production et frais généraux non compris, imprévus compris) Pour les projets qui n’ont pas de promesse de financement (acquise dans le plan de financement) au moment du dépôt du dossier, ou bien d’un financement supérieur à 10.000 euro (hors aide à l’écriture et au développement), l’aide pourrait ne pas être plafonnée. Si la demande d’aide excède le montant accordé par le CPC, le demandeur pourra, sous réserve d’acceptation de la production, bénéficier d’un tarif préférentiel de 50% sur les services / aide en matériel excédents. L’offre d’aide est valable durant un an à dater de la notification de promesse d’aide. Passé ce délais, l’équipe de production du CPC peut décider soit d’annuler sa promesse d’aide, soit accorder un délai supplémentaire.
Comment soumettre un projet ?
Il est conseillé de prévoir une rencontre avec la secrétaire de l’atelier de production avant le dépôt définitif du dossier en 10 exemplaires en français si la demande émane d’un producteur ou 1 exemplaire si la demande émane d’un réalisateur. Il est conseillé auparavant de faire parvenir un exemplaire du dossier afin de s’assurer de la conformité de celui-ci
Ce dossier comprendra :
1. Une lettre de demande
2. Un avant propos qui présente le sujet et son approche.
3. Une note d’intention de l’auteur
3. Notes de réalisation (traitement)
4. Développement (continuité, structure)
5. Fiches techniques : support de tournage et de diffusion, durée,
6. Devis détaillé et devis récapitulatif
7. Plan de financement (acquis ou prévisionnel)
8 .Plan de travail et échéances liées à la production et à la diffusion
9. Copie du contrat d’auteur
10. Copie des lettres d’engagement et des contrats liés au cofinancement, à la coproduction et à la diffusion.
11. CV-Filmographie du producteur et références de la société de production. (3)
12. Nature et budgétisation détaillée de l’aide demandée.
13. Coordonnés du réalisateur et du producteur.
Au dossier peut être rajouté tout matériel image, sonore ou tout autre lié au projet.
Groupe de lecture
Les dossiers sont soumis à un groupe de lecture qui se réunit plusieurs fois par an.
Date limite de remise des projets pour la prochaine session: 16 août 2010
Les membres du groupe de lecture du CPC sont:
Eva Houdova (monteuse, scripte, réalisatrice, enseignante INSAS & IAD), Laura Wandel (réalisatrice), Philippe Jadot (opérateur image), Mathieu Haessler (monteur, enseignant IAD), Serge Meurant ( Centre du cinéma de la CFB) observateur, Jean-Michel Charlier (administrateur délégué CPC), Renelde Dupont (Productrice CPC), Damien Haenecour (Coordinateur CPC), Marguerite Le Bourgeois (monteuse CPC), Miléna Trivier (opératrice image CPC)
Centre de Promotion Culturelle, 111 rue de la Poste 1030 Bruxelles
Tél : 02/640.07.87
www.lecpc.be info@lecpc.be