Entrer à l’INSAS

Des épreuves d’admission intègrent un processus de sélection des candidats. Elles ont lieu chaque année entre le 25 août et le 20 septembre. Les inscriptions à ces épreuves seront reçues à partir du 2 mai et jusqu’au 15 août 2011. Seuls les candidats sélectionnés sont admis à l’inscription en 1er cycle.

Nous avons ouvert en 2007-2008 de nouvelles orientations en Mastère Cinéma : « Image », « Son », « Montage » en 60 crédits. Le mastère en « Réalisation » est maintenant organisé en 120 crédits. Depuis cette année, un mastère à finalité spécialisée en écriture théâtrale, cinématographique et radiophonique en 60 crédits est organisé.

Plus d’information ici.

Projection des films des étudiants

Les étudiants Réalisation et le conseil étudiant organisent la projection des films de fin d’études ce samedi 26 juin de 10h30 à 13h30, salle 35 mm., rue Thérésienne à 1000 Bruxelles.
La projection est ouverte à tous et sera suivie d’un drink.
Au plaisir de vous y retrouver nombreux.

Projection des travaux des étudiants

Les Amis de l’Insas ont le grand plaisir de vous inviter à la projection des travaux des étudiants de Troisième année et de Master de l’année académique 2009-2010. Cette projection aura lieu dans la Salle 35mm de l’Insas, 8 rue Thérésienne à 1000 Bruxelles, le mardi 29 juin de 13h45 à 19h30.

Programme:

13h45:Accueil café
14h00:Films 3è (1:20) + deux films “Regards Croisés” (33′)
16h00:Quatre films de fin d’études – première partie (1:15)
17h30:Drink “Les Amis de l’Insas”
18h30:Quatre films de fin d’études – deuxième partie (1:00)

Nous espérons pouvoir vous retrouver à cette occasion, et présenter de vive voix à l’ensemble des invités les objectifs poursuivis par Les Amis de l’Insas. Le nombre de places étant limité, nous vous prions de confirmer votre présence par email, auprès de amis.insas@gmail.com

Présentations des projets de mise en scène théâtre 2010

Depuis 4 ans, l’INSAS ouvre ses portes au public pour la présentation des projets de fin d’études des étudiants de la section Réalisation Théâtre.

Cette section prépare tant à la mise en scène, qu’à l’écriture, la dramaturgie, la création radiophonique, ou encore aux techniques de plateau. Elle a accueilli et formé des personnalités artistiques aussi singulières que Claude Schmitz, Ingrid von Wantoch Rekowski, Sabine Durand, Julie Annen, Marie Henry, Candy Saulnier, Pietro Varrasso, Charlie Degotte, Philippe Sireuil, … pour ne citer qu’eux.

Après une première présentation à un jury artistique, l’école propose aux étudiants de dernière année de poursuivre leur travail et de confronter leur projet au regard du public. À travers cette démarche, l’INSAS accompagne ces étudiants à la frontière de leur formation et de la réalité professionnelle
Cette année, 5 projets ont été retenus par le jury artistique de l’Insas et sont présentés du 24 au 29 juin prochains :

Projets de mise en scène juin 2010

ENFANT ZÉRO / Projet de Céline Ohrel / 24 & 25 juin 21h – 26 et 27 juin 19h
Tout commence avec la naissance d’un numéro zéro, un nouvel être qui arrive après des milliers d’autres. L’enfant zéro n’a pas d’âge. Il est un mythe, une projection. Il est le symbole de tous les possibles, du degré zéro avant tout recommencement. Nous sommes dans la tête de l’enfant et nous suivons son parcours mental où passé, présent et futur se mêlent. Jouant avec le réel et la mythologie, l’enfant zéro est enfermé dans un monde idéal où tout est possible, où tout se mélange, où tout devient poésie, plastique.

ECHOS ET NARCISSE – Métamorphose / Projet de Léa Drouet / 24 & 25 juin 20h – 26 > 29 juin 20h45
En partant de l’histoire d’Echo et Narcisse tel que l’a imaginée Ovide et en travaillant sur des poèmes de Rainer Maria Rilke s’inspirant du mythe, nous nous essayons à une forme poétique théâtrale, par l’exploration du phénomène de l’écho en exploitant l’acoustique d’un couloir de l’INSAS.

L’ECOLIER KEVIN / Projet de Jean-Baptiste Calame / 24 & 25 juin 18h – 26 & 27 juin 18h
« L’écolier Kevin » est une pièce montée de toute pièce. C’est un montage de mot apparemment pris au mot. L’école de Kevin est celle de la tautologie. C’est une école de magicien façon « Poudlard », où Kevin apprend à surfer comme un apprenti sorcier sur les vagues géantes de la culture ultra-violente-jeune-porno qui menace d’engloutir la famille humaine.

MONSTRE ! Sympathie pour le démon / Projet de: Benoit Focant Salerno / 26 & 27 juin 16h – 28 & 29 juin 19h
Décembre 1997, Michael Alig, organisateur de soirées et leader du mouvement Club Kids, écope de 10 à 20 ans de prison ferme pour le meurtre de son « Super Star Drug Dealer ». Un cadavre. Un meurtre. Un gamin. Des ego surdimensionnés. Une course à bras ouverts pour agripper le succès, l’argent, le glamour ou simplement son propre cadavre.

L’ENFANT FROID de Marius Von Mayenburg / Mise en scène : Thibaut Wenger / 26 > 29 juin 21h30
L’Enfant froid se passe dans le monde de la classe moyenne européenne : il y a Papa et Maman, qui ont de l’argent et veulent le garder pour eux, leurs deux filles, Lena la rebelle et Tine la greluche, et leurs amants respectifs, Johann, qui confond toujours Lena avec une certaine Mélanie, et Henning, qui aime exhiber son sexe dans les toilettes des dames. Sans oublier un couple avec enfant, Werner et Silke, dont on croit, sans doute à tort, qu’ils n’ont pas grand intérêt. Jusqu’ici tout paraît évident…

Courts du jour, courts du soir à l’Arenberg

Deux films montés par Fanny Roussel, à l’Arenberg :

Portrait d’une Mousson de Fanny Roussel – INSAS – 2009 – 26’30
Il était une fois une femme qui pleurait. Elle pleurait depuis toujours, elle pleurait chaque jour. Cette femme avait un secret, un grand secret. Au fil des années, à l’intérieur de son corps, le secret qu’elle gardait se métamorphosa. Un paysage étrange se dessinait; dans sa chair, un pays humide grimpait et s’enracinait, un pays où régnait la mousson…

3 Inches of Memory de Camille Fontenier – Coproduction INSAS, St Lukas et BFA Pékin – 2009 – 22’30
Pékin, Je marche dans les hutongs à la recherche de ces femmes aux petits pieds, j’entends et je poursuis les échos d’une vieille concubine abîmée aux pieds…

Courts du Jour, Courts du Soir
Chaque dernier mardi du mois, de septembre à juin, nous vous proposons un programme d’environ 60 minutes de courts-métrages… à 12h00… avec un sandwiche ou une salade + une boisson… à 18h30, avec l’apéro… Le tout pour seulement 6,60 € !

Galerie de la Reine, 28 – 1000 Bruxelles

Diffusion d’exercices radio sur La Première

Les lundis de la création – Paysage sonore
Ce lundi 14 juin dans l’émission ‘Par ouï dire’ sur La Première RTBF, Richard Kalisz, professeur à l’INSAS nous présente les œuvres d’Adélie Champallier, Léo Médard, Elodie Lélu et Bénédicte Bantuelle.  Les trois premiers sujets sont des travaux réalisés cette année en troisième année réalisation.

Des portraits sonores qui nous font découvrir quelques lieus dans une perspective purement sonore.
Diffusion sur La Première entre 22 et 23 heures

13ème festival international du film étudiant de Tel Aviv

Mimesis de Camille Meynard et Three inches of memory de Camille Fontenier ont été sélectionnés au 13ème festival international du film étudiant de Tel Aviv.

The 13th Tel Aviv International Student Film Festival which will be held in Israel from June 5th to June 12th 2010. The Tel Aviv Student Film Festival is acknowledged as one of the largest and most respected student film festivals in the world. The most important part of the event is the participation of students, professionals and academics from all over the world. This gathering gives an opportunity for young artists to gain practical experience, share ideas and enjoy the meeting of minds with other aspiring filmmakers from all over the world.


Three inches of memory de Camille Fontenier


Mimesis de Camille Meynard

À la ferraille


Documentaire sonore de Pauline Chevallier

Projet de fin d’étude / Master 1 : Réalisation Théâtre
INSAS / Professeur référent : Richard Kalisz

Ecriture et réalisation : Pauline Chevallier

Dans le cadre de sa dernière année d’étude en section mise en scène, Pauline Chevallier décide de réaliser un documentaire pour approfondir une démarche entamée il y a quatre ans autour de la question de la marge dans l’urbanité. Après une première radio réalisée lors d’un exercice proposé à l’INSAS sur d’anciens jardins ouvriers et un film documentaire sur les Wagens Burgs de Berlin, elle part à la rencontre d’un monde mal connu, celui des ferrailleurs, ici à Bruxelles.

Après cinq mois d’enregistrement naît A LA FERRAILLE, une errance sonore conduite par la voix de ces hommes solitaires, travailleurs à l’ombre de notre organisation sociale.

A LA FERRAILLE est un circuit qui commence et s’achève chez les grossistes en ferraille, là où l’on vient échanger les débris de fer contre du cash, là où peut-être se termine le monde industriel, là où les énormes griffes d’acier ramassent les métaux récupérés pour qu’ils soient avalés, mâchés, digérés…

Derrière cette matière entassée et recyclée, une poignée d’hommes dans nos villes se façonnent donc leurs subsistances grâce aux déchets d’un monde industriel en déclin.

Certains sillonnent la ville en camion. Ils cherchent les chantiers en attente, les immeubles voués à la destruction, les déchetteries. Eux, ils se nomment les ferrailleurs, et passent leurs journées à soulever, dézinguer, trier, brûler, avant d’aller acheminer leur or rouillé à la ferraille.
D’autres y arrivent à pied, avec quelques bouts d’aluminium et deux ou trois câbles de cuivre qui leur rapporteront seulement quelques euros…

Il n’y pas de règles au travail, ici, mais une organisation spontanée et silencieuse. Ce n’est ni vraiment légal, ni vraiment illégal. Tu apprends sur le tas. Tu peux en vivre bien si tu es solide et débrouillard et si les taux ne chutent pas trop à la bourse. Tu cherches en général à ne gagner que ce dont tu as besoin.

C’est aux abords du musée de La Fonderie, dans les ruines d’une ancienne industrie de métal que nous vous invitons ce lundi 14 juin à 18h à écouter A LA FERRAILLE.

Mixage : Julien Courroye
Régie son : Laurent Gueuning
Conseils et apports de matériaux sonores : Thomas Samson

DIFFUSION PUBLIQUE / Lundi 14 juin18h / Durée 30 min
à
La Fonderie , 27 rue Ransfort- 1080 Bruxelles

Entrée gratuite / Réservation conseillée / (jauge de 60 places)
par mail : pauline_chut@yahoo .fr
par tel : 04 89 340 871

Le Fresnoy, exposition PANORAMA 12

Soft machine

Exposition du 5 juin au 25 juillet 2010

Commissaires : Fabrice Bousteau, Pascale Pronnier
Scénographe : Jacky Lautem

Le processus est plus important que le résultat. Quand c’est le résultat qui oriente le processus, on retourne toujours là où l’on a déjà été. Si c’est le processus qui commande, on ne sait peut-être pas où l’on va, mais on sait que l’on a envie d’y aller. Extrait du Manifesto for Growth de Bruce Mau

Cette assertion pourrait être la devise du Fresnoy. Et si, lorsque je demande à Alain Fleischer de qualifier Le Fresnoy en un mot, celui-ci me répond « machine », c’est bien de « process » dont il parle car l’école est selon lui « une machine à produire ». Un process qui s’appuie sur des machines, des outils technologiques parmi les plus performants au monde pour l’image et le son et auxquels les artistes sont formés et ont accès à volonté.

Mais ces machines-là sont moins déterminantes pour la formation de étudiants artistes que la machine globale du Fresnoy que je qualifierai de « Machine Molle » comme l’on parle des « matières molles ». C’est à l’université d’Orsay, au début des années 1970, que Madeleine Veyssié introduisit le terme de matières molles pour désigner tout ce qui va des matières plastiques aux bulles de savon, en passant par les gels, les élastomères, les cristaux liquides, les crèmes cosmétiques, les boues, les pâtes céramiques, etc. Qu’ont donc en commun tous ces matériaux intermédiaires entre les liquides et les solides habituels, dont la liste peut paraître hétéroclite ? Est mou, bien sûr, un matériau qui se déforme beaucoup lorsqu’on appuie dessus. Les physiciens ont généralisé cet adjectif pour désigner toute matière dont la réponse à une sollicitation est grande.

La « machine molle » du Fresnoy est une machine des possibles, elle se nourrit de ces étudiants d’origines culturelles multiples, les nourrit à son tour et ensemble ils se forment, se déforment et se transforment. Elle s’alimente et s’active pour beaucoup avec les fluides de l’équipe pédagogique permanente qui est un modèle d’adaptation mais aussi d’énergie pour accompagner les étudiants aux profils si différents. Elle se meut parfois avec soubresaut quand les artistes enseignants invités (Luc Moullet, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Hans Op de Beeck, Ulf Langheinrich, Jean-François Peyret, Scanner/Robin Rimbaud) d’horizons géographiques et intellectuels aussi différents que les étudiants y mettent leurs huiles.

Car Le Fresnoy est moins une école de pensée qu’une école de conduite. Elle n’impose aucun dogme, aucune esthétique mais cherche davantage à faire appréhender aux étudiants des processus de construction de l’œuvre à travers des multiplicités, des différences. Et, c’est la particularité du Fresnoy : proposer aux « artistes étudiants » comme principal enseignement de les « accompagner » à réaliser un projet c’est-à-dire une œuvre lors de chacune de leurs deux années d’études. Une œuvre présentée dans une exposition publique : Panorama. Une exposition qui porte bien son nom tant chaque année, et celle-ci n’y déroge pas, elle constitue un point de vue riche sur la création de jeunes artistes venant du monde entier.

Mais si les projets de ces jeunes artistes sont multiples, je suis frappé de voir combien une majorité ont un caractère « documentaire ». Cela est moins à mon sens un effet de mode que le sentiment pour ces jeunes artistes que l’art a responsabilité politique, sociale plus importante aujourd’hui qu’hier. Mais cette expression documentaire prend chez chacun des formes différentes et font de Panorama 12 une exposition qui résonne comme un chaos doux, une grande machine molle dans laquelle on se glisse et on ressort quelque peu transformé.

Fabrice Bousteau

Panorama 12 est l’occasion de découvrir plus de 50 œuvres inédites – films, vidéos, installations, photographies et performances produites en 2010 au Fresnoy, par les jeunes artistes et les artistes professeurs invités :
Giacomo Abbruzzese, Shirin Abu Shaqra, Jean-Michel Albert, Balthazar Auxietre, René Ballesteros, Lixin Bao, Neil Beloufa, Mohamed Bourouissa, Antonia Carrara, Jean-Christophe Couet, Joseph David, Matthieu Adrien Davy de Virville, David De Beyter, Emad Aleebrahim Dehkordi, Camille Ducellier, Thomas Duquet, Tamara Erde, Dorian Gaudin, Eric Giraudet de Boudemange, Yakup Girpan, Viola Groenhart, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Elika Hedayat, Mathilde Hess, Sébastien Hildebrand, Tessa Joosse, Atsunobu Kohira, Hayoun Kwon, Marikel Lahana, Ulf Langheinrich, Manon Le Roy, Hee Won Lee, Oh Eun Lee, Simon Leibovitz-Grzeszczak, Thomas Lock, Jacques Loeuille, Alexandre Maubert, Léonore Mercier, Loukianos Moshonas, Luc Moullet, Benjamin Naishtat, Hans Op de Beeck, Edgar Pedroza, Jean-François Peyret, Rossella Piccinno, Claire Pollet, Isabelle Prim, Matthieu Ravez, Robin Rimbaud / Scanner, Sophie Sherman, Ula Sickle, Emmanuel van der Auwera, Jéro Yun.

programme PANORAMA 12

Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains
22 rue du Fresnoy, BP 80179, 59202 Tourcoing cedex
www.lefresnoy.net / www.panorama12.net

DO/ REDO/ UNDO: 50 ans en performance vidéo

Avec: Vito Acconci, Matthew Barney, Chris Burden, Robert Filliou, General Idea, Dan Graham, Joan Jonas, Mike Kelley, Paul McCarthy, Matt Mullican, Bruce Nauman, Dennis Oppenheim, Nam June Paik, Martha Rosler, Carolee Schneemann, VALIE EXPORT, William Wegman, Hannah Wilke…

Pendant le Kunstenfestivaldesarts, Wiels présente un état des lieux de l’un des courants artistiques les plus jeunes de l’histoire de l’art. Do / Redo / Undo propose un tour d’horizon de 50 ans d’art de la performance à travers une centaine d’oeuvres. Do / Redo / Undo est autant un projet d’analyse qu’une exposition. Ce sont des archives, servant des fins artistiques et scientifiques, un regard rétrospectif, composé d’instantanés, sur certains des happenings et performances les plus influents des cinquante dernières années.

Une large section de DO / REDO/ UNDO provient de l’exposition 45 Years of Performance Video from EAI, présentée précédemment à PS1 à New York (01.11.2009 – 26.04.2010), qui a mis en lumière plus de quatre décennies de performances d’artistes créées spécialement pour la vidéo, depuis les exercices de body art de la fin des années 1960 aux nouvelles performances numériques. Fondée en 1971, Electronic Arts Intermix (EAI) est l’une des références les plus importantes, sans but lucratif, consacrée à l’art vidéo, et fait partie des premiers défenseurs de l’art et des artistes “media”. L’activité centrale de EAI est la distribution et la préservation d’une importante collection de plus de 3.500 œuvres media, nouvelles et anciennes. EAI favorise la création, l’exposition, la distribution et la préservation de l’art vidéo et numérique. Ses activités incluent un programme de préservation, des services éducatifs, des ressources en ligne et des programmes publics tels que les conférences d’artistes et des expositions. Le catalogue en ligne est une ressource complète sur les artistes et les œuvres de la collection EAI: www.eai.org

Ant Farm, Media Burn, 1975-2003, 23:02 min. Courtesy of Electronic Arts Intermix.

Les autres oeuvres sont empruntées à des collections basées en Belgique: la vidéothèque de Jeunesse et Arts Plastiques, Argos Centre for Art and Media, l’asbl Vidéographie(s) et Mukha.

27 films des 27 pays européens à l’UGC

EuroCine présente 27 films venant des 27 Etats membres de l’Union européenne. L’édition de cette année présente une sélection ambitieuse de films qui sera diffusée dans 5 capitales européennes le 9 mai. Prix unique : 5€/séance.

  • Liar [Menteur] – 78′
  • The World is Big and Salvation Lurks Around the Corner [Svetat e golyam i spasenie debne otvsyakade] – 105′
  • Tobruk – 110′
  • Take the Trash [Blå maend] – 80′
  • Whisky with Vodka [Whisky mit Wodka] – 104′
  • Vasha – 100′
  • Eamon – 86′
  • A Woman’s Way [Strella] – 113′
  • Cell 211 [Celda 211] – 110′
  • Ah ! La libido – 80′
  • The Mouth of the Wolf – 75′
  • Soul Kicking [I psihi sto stoma] – 112′
  • Midsummer Madness [Janu Nakts] – 95′
  • Low Lights [Artimos sviesos] – 92′
  • Sunny’s Time Now – 108′
  • Fluke [Mázli] – 93′
  • Kont DIĠA’
  • The Storm [De storm] – 96′
  • Kill Daddy Goodnight [Das Vaterspiel] – 117′
  • Sweet Rush [Tatarak] – 85′
  • A Portuguese Nun [A Religiosa Portuguesa] – 127′
  • Medal of Honor [Medalia de onoare] – 104′
  • Slovenian Girl [Slovenka] – 91′
  • Broken Promise [Nedodrzaný slub] – 129′
  • Tears of April [Käsky] – 115′
  • Burrowing [Man tänker sitt] – 76′

Projection des exercices images

Vous êtes invités à venir découvrir les trois exercices images le vendredi 7 mai de 15h à 18h30 en salle 35mm, à l’INSAS Thérésienne.

Image Imposée I – Tableau de Maître
Travail 35mm – Ba2
Travail HD-CAM – Ba3

Lumière Naturelle – Ba3
Copie 1 – 35mm

Image Imposée II – Remake photographique – Ba3
Séquence originale Happy Together de Wong Kar Wai
Positif 35mm d’après Super 16mm (DI) & Red
Positif numérique d’après Super 16mm (DI) & Red

Prix Cinégalité “Elles Tournent”

Comme les deux années précédentes, nous remettrons, dans le cadre de la troisième édition du FESTIVAL DE FILMS DE FEMMES «ELLES TOURNENT», un prix de 1000 euros à une étudiante ou un étudiant pour un film réalisé en cours d’étude abordant soit une problématique femmes soit la question des rapports entre les sexes dans une perspective non stéréotypée et novatrice.

Cette année un prix Cinemagelijk sera également octroyé à un-e étudiant-e de la communauté flamande. Les prix seront remis et les films primés projetés lors d’une séance spéciale au cours du Festival qui aura lieu du 16 au 19 septembre 2010 au Botanique.

Vous pouvez également consulter la rubrique Cinégalité sur le site www.ellestournent.be. Vous y trouverez plus de détails sur les prix décernés les deux années précédentes. Pour rappel, deux étudiantes avait gagné un prix en 2008.

Film réalisé au cours de l’année académique 2008-2009 dans le cadre d’une institution d’enseignement supérieur de la Communauté française. Toutes catégories acceptées : court et long métrage, documentaire, fiction, spot publicitaire… à condition de satisfaire à l’exigence de thématique égalitaire.

Envoyer avant le 1er juin 2010 une copie DVD du film,tout autre document concernant le film et les coordonnées du réalisateur ou de la réalisatrice (adresse, e-mail, téléphone) à :

Nadine Plateau
PRIX CINÉGALITÉ 2010 du conseil des femmes francophones de belgique
10, rue du Méridien
1210, Bruxelles
Tél: 0474 551 338