8ème Biennale d’Art Contemporain

“Comprendre et penser de manière critique et sensible le monde contemporain”

Du 18 septembre au 17 novembre 2013, ne manquez pas la 8ème édition de la Biennale d’art contemporain d’Ottignies-Louvain-la-Neuve. Découvrez la vingtaine de pavillons mis en place par Michel François et Guillaume Désanges.

La 8ème Biennale d’art contemporain, intitulée Une exposition universelle (section documentaire) a été imaginée par deux commissaires de taille: le plasticien Michel François (B) et le curateur et critique Guillaume Désanges (F). Ils ont développé le concept d’une vingtaine de pavillons thématiques, à la manière des “Expositions Universelles” organisées entre le 19ème et le 20ème siècle, qui seront répartis dans deux lieux emblématiques de la Ville nouvelle: les vastes plateaux du parking Grand Rue -3 (4000 m²) et le Musée de Louvain-la-Neuve. Cette anti-exposition universelle est composée d’un agencement par pavillons présentant de nombreuses images, documents objets, authentiques ou facs-similés dans une scénographie originale… Autant de formes de création involontaire et clandestine, autant d’histoires, de faits authentiques et de destins, qui ne sont pas sans lien avec l’art sans en être spécifiquement. Une Biennale qui donne à voir, comprendre et penser de manière critique et sensible le monde contemporain.

http://www.biennale8.be/
Informations
Tarifs et heures d’ouverture

Rencontre avec Michel François et Guillaume Désanges, à Bozar

“La Création Contemporaine”. Dans le cadre de la 8e Biennale d’art contemporain de LLN, intitulée Une exposition universelle (section documentaire) dont ils sont commissaires. Les commissaires ont développé le concept d’une vingtaine de pavillons thématiques, à la manière des “Expositions Universelles” organisées entre le 19ème et le 20ème siècle, qui seront répartis dans deux lieux emblématiques de la Ville nouvelle: les vastes plateaux du parking Grand Rue -3 (4000 m*) et le Musée de Louvain-la-Neuve. Cette anti-exposition universelle est composée d’un agencement par pavillons présentant de nombreuses images, documents objets, authentiques ou facs-similés dans une scénographie originale… Autant de formes de création involontaire et clandestine, autant d’histoires, de faits authentiques et de destins, qui ne sont pas sans lien avec l’art sans en être spécifiquement. Une Biennale qui donne à voir, comprendre et penser de manière critique et sensible le monde contemporain.

Lieu: Palais des Beaux-Arts / Studio
Dates: Mercredi 09.10.2013 – 20:15
Infos supplémentaires.

Les informations suivantes sont fournies pour information à destination de nos étudiants. L’INSAS n’a aucune relation avec les sociétés et organisations citées. Le contenu proposé ici est fourni librement, sans engagement aucun de part et d’autre.

Ciné-Club: Dodoma

cine_club_insas_donoma_filmChaque mois, un ou plusieurs cinéastes viendront présenter un de leurs films et animer un débat avec le public au cinéma Vendôme, partenaire du ciné-club de l’INSAS. Ceci dans le but de questionner le cinéma d’aujourd’hui, de chercher à dessiner les traits d’un cinéma d’hier et d’esquisser ceux du cinéma de demain.

Pour son deuxième numéro au Cinéma Vendôme, le Ciné-Club de l’Insas vous propose une soirée autour du film DONOMA (2011) en présence du réalisateur Djinn Carrénard et de l’actrice Salomé Blechmans.

En 2011, DONOMA est sur toutes les lèvres. Promotion atypique et sauvage, tournage à l’arraché, équipe travaillant tant devant que derrière la caméra, budget presque néant: il nous importait de donner une place à ce film unique et la parole à ceux qui l’ont fait.

“Donoma” impressionne par sa puissance à construire à partir de rien un film qui ne ressemble à rien (pour ses détracteurs), un film qui ne ressemble à rien de ce qui a été vu (pour ses louangeurs). Dans tous les cas, il rebat les cartes du cinéma français et propose une nouvelle donne.” (Les Cahiers du Cinéma)

Jeudi 3 octobre à 18h15 au Cinéma Vendôme, 18 chaussée de Wavre à 1050 Bruxelles (Ixelles – Porte de Namur).

Rencontres professionnelles Brussels Film Festival

Jeudi 20/06

FLAGEY STUDIO 5
Leçon de cinéma BRUNO DUMONT 16.30
Français
Le réalisateur français de La vie de Jésus, L’Humanité, Flandres, Hors Satan, Camille Claudel 1915. Rencontre animée par Louis Danvers, journaliste pour le Focus Vif.^

FLAGEY STUDIO 4
21.15 Projection de « CAMILLE CLAUDEL 1915 » de Bruno Dumont

Jeudi 20/06

FLAGEY STUDIO 5
CONFERENCE MEDIA 18.00
Anglais
Présentation du nouveau programme intitulé Europe Créative.

FLAGEY STUDIO 5
20.30 Projection de « Chaika » de Miguel Ángel Jiménez, un film soutenu par le programme MEDIA / Screening of « Chaika » by Miguel Ángel Jiménez, a film that has been supported by the MEDIA programme

Vendredi 21/06

FLAGEY FOYER 3
RENCONTRE MUSIQUE ET CINEMA 14.00 – 16.00 Rencontre individuelle entre compositeurs et réalisateurs/producteurs. Suite au succès de la dernière édition (plus de 150 musiciens participants), le Brussels Film Festival réitère une rencontre entre compositeurs de films, réalisateurs et producteurs. 10 compositeurs oeuvrant dans les musiques actuelles seront sélectionnés par un jury de professionnels pour une rencontre individuelle de 10 minutes maximum, selon le principe du speed‐dating. Les réalisateurs/producteurs recevront les oeuvres sélectionnés le 15 juin afin de les familiariser avec les compositeurs sélectionnés.

Pour plus d’informations ou pour vous inscrire, contactez Marc Jacobs
e‐mail marc@brff.be / téléphone + 32 (0)2 762 66 76
En collaboration avec la SABAM.

FLAGEY STUDIO 1
MASTER CLASS DE 16.00 – 18.00
BERTRAND TAVERNIER Français
A l’occasion du 11ème Brussels Film Festival, le vendredi 21 juin à Flagey, il y aura une masterclass avec le réalisateur français Bertrand Tavernier (L’Horloger de Saint‐Paul, Que la fête commence…, Le Juge et L’Assassin, Coup de torchon, Un dimanche à la campagne, L. 627, L’Appât, Capitaine Conan, Dans la brume électrique, La Princesse de Montpensier…). Elle aura lieu en collaboration avec la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD), l’Association des Réalisateurs et Réalisatrices de Films (ARFF) et l’Association des scénaristes de l’Audiovisuel (ASA).

Jeudi 20/06

FLAGEY STUDIO 1
15.00 Projection de « La Princesse de Montpensier » de Bernard Tavernier
17.15 Rencontre avec Bertrand Tavernier

Samedi 22/06

FLAGEY STUDIO 1
Leçon de cinéma 16.00 ‐ 18.00
BERTRAND TAVERNIER Français
Rencontre animée par Olivier Lecomte, journaliste pour Télémoustique.

Dimanche 23/06

FLAGEY STUDIO 5
Rencontre 15.30 – 17.00
BERTRAND TAVERNIER ET LA MUSIQUE DE FILM Français
Rencontre animée par Benoît Basirico, journaliste

CINEMATEK
Rencontre avec BERTRAND TAVERNIER 19.00
Projection de « Le dernier tournant » de Pierre Chenal
En guise d’avant‐goût de sa carte blanche et de la rétrospective programmées cet été, Bertrand Tavernier viendra à la CINEMATEK présenter Le dernier tournant de Pierre Chenal.

Lundi 24/06

FLAGEY STUDIO 1
WORKSHOP TOURNAGE VERT 16.00 ‐ 18.00
(Organisé en collaboration avec Bruxellimage) Français
Tous les tournages utilisent des moyens techniques qui consomment de l’énergie, engendrent des déplacements, génèrent des déchets et qui sont fréquemment en contact avec des milieux dits ‘sensibles’. L’empreinte écologique de ces tournages n’est donc pas neutre. Alors, comment rendre les productions de film plus vertes ? Ce workshop vise, avec la collaboration active des participants, à relever les besoins des professionnels du cinéma et à identifier les actions qui vont permettre au secteur professionnel de se lancer dans une démarche collective de développement durable.
Participants :

  • L’équipe de production de “Une chanson pour ma mère” (2013), un film francobelge qui a été tourné selon le précepte du tournage vert.
  • Joël Franka (réalisateur)
  • Bernard de Dessus (producteur, Novak)
  • Sophie Cornet (éco‐conseillère)
  • Olivier‐René VEILLON, Directeur Général de la Commission du Film d’Île‐de‐
  • France et partenaire fondateur du collectif Ecoprod (www.ecoprod.com)
  • Siebe Dumon, chargée du projet Eco Tournage au VAF

Le Workshop sera animé par Philippe Reynaert, General Manager de Wallimage/Bruxellimage

INFOS PRATIQUES
Inscriptions obligatoire pour chacune de ces rencontres professionnelles.
Les accrédités professionnels et la presse seront prioritaires.
Les formulaires d’accréditation sont à télécharger sur
www.brusselsfilmfestival.be, espace PRESS/PRO.
Renvoyez votre inscription à celly@brff.be
Pour plus d’infos, écrivez à info@brff.be
ou téléphonez au + 32 (0)2 762 08 98

Rencontres professionnelles (PDF)

Petition Of European Filmmakers

L’EXCEPTION CULTURELLE N’EST PAS NÉGOCIABLE !

Le 13 mars 2013 risque de marquer un tournant majeur et scandaleux dans la construction de l’Europe.

C’est le jour où la Commission européenne, sous l’impulsion du Commissaire Karel de Gucht, a décidé de piétiner l’exception culturelle en adoptant un projet de mandat de négociation qui intègre les 2 services audiovisuels et cinématographiques aux discussions commerciales qui débuteront cet été avec les Etats-Unis.

Oubliées les paroles enflammées du Président Barroso qui assurait en 2005 que « dans l’échelle des valeurs, la culture vient devant l’économie ». Balayées toutes les déclarations d’amour au cinéma du même Président Barroso lorsque les cinéastes avaient été contraints de se mobiliser pour défendre le programme MEDIA. Et quid de ce slogan porté par la Commission : « Europe loves cinema » !

A quelques mois de la fin de sa présidence, on peine à savoir quelle trace Monsieur Barroso veut laisser dans l’histoire de l’Europe. Pour l’heure, c’est malheureusement l’image de la démission culturelle qui domine. Il semble même ne pas avoir retenu la leçon que lui-même donnait il y a peu : « la réponse à la crise, c’est la culture. »

Ne nous y trompons pas, le mandat de négociation proposé est un renoncement, une capitulation, une rupture.

Il y a 20 ans, c’est sur le territoire européen que se forgea cette volonté commune de soutenir la création et de promouvoir sa diversité.

La Culture est au cœur de l’identité et de l’idéal européens.

Il y a 20 ans, l’exception culturelle faisait irruption dans le paysage international et permettait la reconnaissance d’un statut spécifique aux œuvres de l’esprit qui ne peuvent pas être des biens comme les autres et qui doivent être exclus des négociations commerciales. Il y a 20 ans, à l’occasion des accords du GATS, c’est au nom de l’exception culturelle que la création et la diversité linguistique ont pu continuer à bénéficier de règles de protection et de soutien.

Le bilan est positif pour ceux qui veulent le regarder avec objectivité : la diversité culturelle est aujourd’hui une réalité pour la plupart de nos territoires, facteur d’échange et de compréhension mutuelle, mais aussi génératrice d’emploi et de croissance.

L’Europe que nous aimons est celle qui a œuvré pour faire émerger la Convention de l’UNESCO de 2005 sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles et qui l’a ratifié en grande pompe dès 2006, rassemblant 126 pays du monde entier. L’Europe que nous aimons est celle que le monde regarde avec fierté comme initiatrice et porteuse de cette grande idée.

Avec l’adoption de ce mandat de négociation qui réduirait la culture à une monnaie d’échange, la Commission (à l’exception de trois commissaires qui ont voté contre) a renoncé à défendre l’exception culturelle. Elle s’est reniée et a renié les engagements qu’elle avait pris, n’hésitant pas à faire preuve d’une duplicité condamnable.

Nous refusons cette Europe qui veut désormais se soustraire aux grands principes posés par la Convention, notamment celui qui consacre la souveraineté culturelle des Etats.

Face à des Etats-Unis dont l’industrie du divertissement est la seconde source d’exportation, la libéralisation de l’audiovisuel et du cinéma signifierait le démantèlement annoncé de tout ce qui a protégé, promu et développé la culture européenne. Cette politique, doublée d’une hyper- bienveillance fiscale pour les géants numériques américains, ressemble à s’y méprendre à une volonté consciente de mettre à genoux la culture en Europe.

Ceux qui, au nom de l’Europe, auront couvert ou accepté cette démission en seront définitivement redevables aux yeux de l’Histoire. La diversité culturelle ne peut être une monnaie d’échange, elle doit rester une ambition, une exigence et un engagement.

Il n’est pas trop tard !

Nous nous battrons pour que l’Europe continue à écrire son Histoire par l’esprit, par la Culture, par un regard divers sur soi et sur le Monde, afin que les citoyens puissent apporter des réponses profondes et complexes aux défis que notre époque soulève.

Les personnalités européennes signataires appellent solennellement les chefs d’États européens à se prononcer en faveur de l’exclusion des services audiovisuels et cinématographiques des négociations entre l’Europe et les Etats-Unis.

PETITION ON LINE :

https://www.lapetition.be/en-ligne/The-cultural-exception-is-non-negotiable-12826.html

Soirée référence-montage

Montage.be invite tous les monteurs et futur monteurs à cette soirée de discussion sur le thème de notre métier. Comme annoncé au lancement de notre enquête, notre but est de vous présenter les résultats et statistiques lors d’une assemblé afin de nous permettre de les analyser et d’en débattre ensemble. Pour faciliter la communication ce débat sera bilingue. Après quoi, nous pourrons encore discuter autour d’un verre au Rits-Café (à la même adresse). Si vous connaissez des collègues monteurs qui n’ont pas reçu ce mail, n’hésitez pas à le faire suivre.

à bientôt
l’équipe de MONTAGE.BE

Colloque “Einstein/Duchamp et après?”

Colloque international à propos de la recherche dans l’enseignement supérieur artistique.

Quel que soit son champ disciplinaire d’exercice, la recherche est le centre nerveux de l’enseignement supérieur. D’où vient donc le fait que dès lors qu’il s’agit d’enseignement artistique d’innombrables questions, voire d’objections, sont posées; aussi bien par des personnes extérieures à cet ensemble qu’issues de ses rangs ? Cette recherche serait-elle si éloignée des sciences dures et des sciences humaines qu’il faudrait inventer pour elle d’autres cadres de références, d’autres méthodes, des processus de pensée et des méthodes de travail entièrement différents ?

Un objet propre, qui aurait pour nom « recherche artistique », peut-il s’appréhender, se présenter, se rendre visible, produit par ses acteurs (artistes, théoriciens, historiens, étudiants) et en relation permanente avec des partenaires publics ou privés? Constater qu’il y a un lien organique entre recherche et art peut-il suffire à fonder un dialogue avec l’ensemble des parties prenantes de la recherche ? Dans le nouveau paysage de l’enseignement supérieur européen, n’est-il pas urgent de dégager en Fédération Wallonie-Bruxelles, à l’instar de la plupart des pays européen, un modèle institutionnel de la recherche dans l’enseignement supérieur artistique, qui permette de la rendre visible, de l’accompagner, de lui donner des moyens et de la valoriser? Telles seront quelques unes des questions, qui seront abordées durant ce colloque.

Intervenants : Bojana Cvejié, Mark Lewis, Yolande Padilla, Peter Sinclair, Anne-Catherine Sutermeister, Joël le Turlinckx, Angela Vettese, Mick Wilson

Lieu : Palais des Académies, Rue Ducale, 1, 1000 Bruxelles Espace Baudouin

Date : 28 novembre (09h>17h) et 29 novembre 2012 (09h>14h30)

Lire le programme en PDF.

Océan Solide

Projection du documentaire « Océan Solide » film réalisé par des anciens élèves de L’INSAS

Ce film a déjà été sélectionné et présenté dans plusieurs festivals (EDOC 2011 en Equateur, le CINESUL à Rio de Janeiro, FIC de Monterrey au Mexique, Festival du premier film documentaire à Aix-en-Provence, Festival International de Cinéma Jeune au Portugal) et il sera présenté aussi au Pérou et à Santiago du Chili (Festival Cine//B_5) ce mois de novembre.

Il a gagné cette année le prix du meilleur documentaire lors du festival “Cortopolis”, IV Festival Latino-américain de courts-métrages à Cordoba, Argentine.

“La fin d’une traversée, c’est le début d’une nouvelle vie pour le réalisateur de ce documentaire. Il revient sur sa terre natale à bord d’un cargo où petit à petit il va rencontrer les marins qui l’habitent. La plupart sont philippins et quelque chose de l’esprit nous attire : peut-être parce que la cabine est trop petite et la mer trop vaste, les marins préfèrent le silence. Océan Solide est une réflexion lyrique qui navigue sur les profondeurs inexpugnables de l’océan humain.” 

Il a été sélectionné dans la compétition court-métrage documentaire.Le moyen-métrage documentaire “Océan Solide”, réalisé par Tomas Astudillo (ancien élève image) et monté par l’ancienne élève Alejandra Aguilar C. sera présenté ce 15 novembre à Bruxelles, lors du IV Festival Latino-américain de Flandres.

L’entrée est gratuite.

Date de l’événement : 15 novembre 2012

Lieu de l’événement : Pianofabriek, Rue du Fort 35, 1060 St Gilles Bruxelles

Heure de l’événement : 20 :00h

 

Festival Printemps Précoce

L’INSAS a le plaisir de vous inviter aux présentations des travaux d’étudiants Interprétation Dramatique et Réalisation Théâtre dirigés par Anne Thuot et Estelle Marion

Jeudi 15, vendredi 16, samedi 17 mars à 13h  Cartes Blanches :

Travaux menés par les étudiants de BA3 Réalisation théâtre, de BA3 et M1 Interprétation Dramatique autour de propositions personnelles.

La règle du jeu : 20 minutes maximum, support technique minimal, les propositions viennent des étudiants des trois classes qui dirigent et/ou jouent.

Le théâtre prend son sens dans l’instant de la rencontre avec un public, voilà pourquoi nous vous invitons à ces 18 confrontations entre désirs et réalités du plateau, présentées en 3 parcours simultanés de 3 heures chacun des 3 jours.

Samedi 17 mars à 10h30   “Portes Ouvertes au département Théâtre”

Pour ceux qui voudraient découvrir plus que les travaux des étudiants, présentation de l’école suivie de questions/réponses.

En présence du Directeur et de plusieurs professeurs.

Pour les réservations “Festival Printemps Précoce”  veuillez cliquez sur ce lien.

Équipe pédagogique : Michel Boermans, Christine Grégoire, Virginie Jortay, Estelle Marion, Julie Petitetienne, Marie Sordat, Florence Richard, Virginie Thirion, Anne Thuot .

Étudiants en Interprétation dramatique et Réalisation Théâtre : Marie Charles, Lucille Charnier, Anaïs Ciriello, Amaury D’Avister, Joséphine De Weck, Jean-Baptiste Delcourt, Emilie Flamant, François Gillerot, Elsa Guénot, Margaux Halders, Aurélien Labruyère, Julia Le Faou, Nina Lombardo, Nicolas Patouraux, Eline Schumacher, Simon Vialle (BA3 ID), Amel Benaïssa, Mathis Bois, Clément Goethals, Nicolas Mouzet-Tagawa, Octavie Piéron, Jean-Baptiste Polge, Judith Ribardière (BA3 T) Angèle Baux, Romain Cinter, Chloé De Grom, Inès Dubuisson, Emile Falk, Lucie Guien, Noémi Knecht, Adrien Letartre, Bwanga Pilipili Kagabo, Baptiste Toulemonde, Coline Wauters, Judith Williquet (M1 ID).

“La Revue de Noël”

“Assez de spectacles blasphématoires ! Montrez-nous des crèches vivantes!”
La classe de 2ème année Réalisation Théâtre et la classe de Master Interprétation dramatique vous invitent à leur cours ouvert :

“La Revue De Noël” sous la direction de Charlie Degotte

A Rabelais , 1 rue Jules Bouillon, 1050 Ixelles

Réservation souhaitée au 02.230.45.79

 

Passa Porta met le théâtre belge à l’honneur

Le 28 novembre à 20h15, à Passa porta, 46 rue Antoine Dansaert 1000 Bruxelles, Philippe JEUSETTE lit des extraits de “SPOUTNIK” sous la direction de Virginie THIRION et avec la musique de Eric RONSSE. A l’issue de la lecture, une rencontre est prévue entre Jean-Marie PIEMME et Dimitri VERHULST auteur de la “LA MERDITUDE DES CHOSES”. “Spoutnik” est édité chez Aden; “La merditude des choses”, chez Denoel

jeanmariepiemme.be

Infos et réservations : info@entrezlire.be
Tel : 02/513 46 74
http://www.entrezlire.be/
PASSA PORTA : 46 RUE ANTOINE DANSAERT – 1000 BRUXELLES

Actualité d’un ancien étudiant de l’INSAS : Alain Lorfèvre

Deux du Welz sinon rien

d’ Alain Lorfèvre

(Mis en ligne le 16/11/2011 dans la Libre Belgique)

Le réalisateur de “Calvaire” tournera deux films en 2012 : “Colt 45” et “Alleluia”. Le premier est un polar urbain avec Gérard Lanvin et Joey Starr.

Excellente nouvelle pour Fabrice du Welz, l’un de nos réalisateurs les plus originaux et les plus audacieux : le projet “Colt 45”, qui couve depuis quelque temps, va se concrétiser début 2012. Et, une fois n’est pas coutume, on apprenait lundi que son prochain film, “Alleluia”, se tournerait dans la foulée durant le prochain été. De quoi réjouir ses nombreux fans, qui ont déjà fait de ses précédents “Calvaire” (2004) et “Vinyan” (2008) des films cultes.

Après le “survival” et le fantastique, le grand amateur de cinéma de genre qu’est du Welz va aborder le polar – un de ses grands fantasmes de réalisateur cinéphile. Comme il nous l’a expliqué, “”Colt 45” est l’histoire d’un jeune armurier, Vincent Miles, un “Mozart des armes”, travaillant pour la police française. Il va devoir lutter contre ses pulsions de mort. Le film raconte sa descente irréversible vers le côté obscur.” Le jeune homme cache aussi une blessure, lié à son père, ancien agent du GIGN. Ce qui fait dire avec humour au réalisateur qu’il y a de l’Anakin Skywalker dans le personnage principal de son prochain film.

Le projet lui a été amené il y a environ dix-huit mois par La Petite Reine, la société de production du Français Thomas Langmann (l’un des plus importants producteurs hexagonaux : “Astérix et les Jeux olympiques”, “La Nouvelle Guerre des boutons”). “J’en reçois beaucoup, et ils me plaisent rarement”, précise le réalisateur, qui écrit ses scénarios lui-même. “Mais j’ai trouvé ce scénario fascinant.” Son auteur, Fathi Beddiar, est un ancien critique cinéma (il a notamment travaillé pour la revue “Mad Movies”). La version reçue par du Welz faisait néanmoins 180 pages – soit un film de près de trois heures. “Nous avons passé beaucoup de temps à retravailler le scénario pour arriver à un script dense, assez fouillé.” Surtout, souligne le réalisateur, les personnages sont “riches et complexes“, le film ayant, selon ses dires, “un potentiel à la fois critique et populaire”.

Dans la figure du jeune armurier “Mozart des armes”, et à son prénom, Vincent, on peut deviner où pointent les regards du réalisateur et du scénariste : vers le polar américain “des années 70 et 80 comme on l’aime” et, plus précisément, Michael Mann – dont Fabrice du Welz est grand amateur affiché. De quoi prédire un film dans la veine de “Collateral” ou “Heat”, “loin des sentiers battus du polar français”, à la fois musclé et centré sur ses protagonistes. Le rôle principal sera tenu par un jeune acteur français inconnu, Ymanol Perset. Pour le soutenir, “Colt 45” aligne Gérard Lanvin, Simon Abkarian et Joey Starr. Fabrice du Welz retrouvera sur ce tournage son chef opérateur attitré, le Belge Benoît Debie.

Après “Colt 45”, qui sera tourné entièrement à Paris, du Welz reviendra en terre wallonne avec “Alleluia”, un projet qu’il a coécrit avec Vincent Tavier, qui en sera aussi le producteur. Des retrouvailles, puisque Tavier avait produit avec ses partenaires de La Parti le premier long métrage du réalisateur, “Calvaire”. Ce film dans lequel joueront Bouli Lanners et Jeanne Balibar entretient d’ailleurs un léger lien narratif avec “Alleluia”. “Ce sont des histoires parallèles”, précise Fabrice du Welz. “Ceux qui ont vu “Calvaire” identifieront les connexions.”

Le réalisateur mûrit d’ailleurs un troisième film ardennais, dans la même veine. Plus fondamentalement, “Alleluia”, qui s’annonce comme une autre œuvre extrême du réalisateur, est “une libre adaptation des “Tueurs de la lune de miel””, film-culte de Leonard Kastle, datant de 1970, inspiré de l’histoire authentique d’un couple de serial-killers américains. Le projet a bouclé son financement, avec le soutien notamment du Centre du cinéma et de l’audiovisuel de la Communauté française et de Wallimage. On pourrait également retrouver au casting Virginie Efira, qui a manifesté son intérêt pour le scénario.

Dans un cas comme dans l’autre, on devine à l’écouter que Fabrice du Welz travaillera une fois de plus avec ses tripes – en cherchant à prendre le spectateur aux siennes.

Les Prix de la Critique 2012

 

Lundi soir , au Théâtre National, les Prix de la Critique Théâtre et Danse ont dévoilé leurs lauréats !

Le prix de la meilleur mise en scène revient à une ancienne étudiante de l’INSAS, Selma Alaoui pour son spectacle I would prefer not to…pièce qui sera jouée au Théatre Les Tanneurs en 2012-2013 (à partir de mai 2012 vous pourrez obtenir plus de renseignements sur le site http://www.lestanneurs.be/ ) .

Ce même spectacle a été également primé dans la catégorie ”meilleur Comédienne” avec le prix décerné à notre professeur Anne-Marie Loop, comédienne fétiche des metteurs en scènes belges des années 70 Van Kessel (Karl Valentin), Pousseur (Le Géomètre et le messager), Delcuvellerie (La mère de Brecht, Arkadine dans la Mouette) etc. Sa personnalité parvient à incarner des tranches de vie à caractère fort telle une mère alcoolique de I would prefer not to. …ou l’inoubliable Arkadine dans la Mouette …elle parvient à faire passer avec toute l’humilité qui la caractérise une véritable présence sur plateau qui fait que le spectateur passe du rire au larme. Vous pourrez retrouver ses propos sur le sujet dans l’article ci- dessous :

Ce que je suis dit-elle à J.M Wynants, en 1995, c’est tout ce que j’ai rencontré dans ma vie. Dans mon sac à dos, il y a des milliers de regards, de rencontres. Et j’aime bien cette idée que, quand je suis sur scène, j’ai tout ce monde avec moi.

http://www.lesprixdelacritique.be/index/detail?cat=12

 

Pour l’actualité de nos comédiennes :

Selma Alaoui jouera dans le prochain spectacle d’Armel Roussel : Ivanov Re/MixD’après Ivanov d’Anton Tchékhov au Théâtre Les Tanneurs du mardi 6/12 au mardi 13/12 2011

Anne-Marie Loop joue dans Quai Ouest de B.M.Koltes du jeudi 17/11 au vendredi 25/11 2011 au Théâtre de la Place à Liège

De la nécessité des grenouilles

Celui-là, il est fait pour l’ombre. De ceux qui sont faits pour l’ombre. La lumière du succès, le soleil du pouvoir le flétrit, le consume, l’aveugle, et lui fait faire de mauvais choix. C’est dans l’ombre qu’il s’épanouit et tire au mieux profit de ses facultés.

Trois hommes.

On les croirait sortis d’un mauvais film noir, et pourtant, ce sont eux qui dirigent la ville.  Ville que quittent les usines, ville au bord d’une faillite certaine. Pour sauver la situation, ils empilent les magouilles, et tout serait parfaitement rentré dans l’ordre, si les Respectueux de l’environnement n’étaient pas venus y plonger leur nez …

Une satire de nos gouvernements actuels, prises de becs et hypocrisie pour un huis clos fondamentalement machiste.

texte Virginie Thirion
mise en scène
Sofia Betz
avec
Cédric Eeckhout, Karim Barras, Baptiste Sornin
scénographie
Sarah de Battice
assistante scénographe
Tinka Rodriguez
création lumière
Florence Richard
assistant à la mise en scène
Olivier Magis
création musicale originale
Lionel Vancauwenberge et Daniel Offerman (Girls in Hawaii) un spectacle de dérivation théâtre asbl coproduction Atelier 210 aide Ministère de la Communauté française – Service du théâtre d’après le projet original “Le cochon noir” de Sofia Betz

crédit photo: Olivier Cornil

 

Chaussée Saint-Pierre 210
1040 Bruxelles
02 732 25 98

Festival International Les Francophonies en Limousin

Dans le cadre du Festival International Francophonies en Limousin, l’Imparfait du Présent invite cette année la Classe Master Interprétation Dramatique et Réalisation Théâtre.

Nos étudiants rencontreront le public à l’occasion des Lectures de quatre auteurs de langue française, travail réalisé sous la direction d’Armel Roussel. Chaque lecture sera suivie d’une rencontre en présence de l’auteur.

  1. “Pays Natal” de Pedro KADIVAR (Iran-Allemagne)
  2. “Judith aussi” de Pier-Luc LASALLE (Canada-Québec)
  3. “L’Iceberg qui cache la forêt “de Virginie THIRION (Professeur à l’INSAS)
  4. “Yukonstyle”  de Sarah BERTHIAUME (Canada-Québec)

Avec de gauche à droite : Coline WAUTERS, Lucie GUIEN, Inès DUBUISSON, Judith WILLIQUET, Adrien LETARTRE, Chloé DE GROM, Emile FALK, Noémi KNECHT, Angèle BAUX, Romain CINTER,  Baptiste TOULEMONDE , Bwanga PILIPILI KAGABO

Assistants mise en scène :   Amel BENAÏSSA, Jean-Baptiste POLGE

Semaine du cinéma vietnamien

Dans le cadre de la semaine du cinéma vietnamien et de la collaboration avec l’académie du cinéma et du théâtre de Hanoï, l’INSAS organisera le 6 octobre à  partir de 18H en collaboration avec le Ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme et l’Ambassade de la République Socialiste du Vietnam en Belgique et de WBI (Wallonie-Bruxelles International) une projection de 4 courts-métrages de jeunes réalisateurs vietnamiens ainsi que d’un long métrage.
Seront présents des représentants de l’école de Hanoï.
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