Le film de fin d’études du liégeois Alexandre Gilmet est sélectionné à la Cinéfondation, sélection officielle du Festival de Cannes qui regroupe les films d’écoles du monde entier. “Poubelle” a été choisi parmi 2.300 courts métrages et concourra pour l’un des trois prix décernés par le Jury de la Cinéfondation et des Courts métrages.
Archives mensuelles de mai 2016
Nouveau prix pour XYZ – The City Hunter au BSFF
Le film de fin d’études « XYZ – The City Hunter » de Tikal (Maxime Hourdain) remporte le Prix du Jury jeune au Brussels Short Film Festival (BSFF). Le court-métrage, inspiré du manga écrit et dessiné par Tsukasa Hōjōprimé, a été également primé au Festival International du Film francophone de Namur (FIFF) en 2015 et au Brussels International Fantastic Film Festival (BIFFF) en avril 2016.
Suite à l’assassinat de son fiancé, Usagi Tanase veut se venger. Pour parvenir à ses fins, elle contacte Ryô Saeba, alias City Hunter, le nettoyeur le plus respecté et le plus craint du milieu de l’ombre. Cependant, elle ignore que ce dernier est un incorrigible coureur de jupons et qu’il n’accepte ses contrats qu’à deux conditions…
Carte blanche à l’INSAS dans l’emission Tout le Baz’Art
Les exercices et courts métrages de l’INSAS, “Saute mon école” de Joachim Soudan, “La détesteuse” de Faustine Cros et “Yaar” de Simon Gillard, ont été diffusés en mars dans l’émission Tout le Baz’Art. Les trois réalisateurs et les professeurs qui les ont encadrés, ont présenté le parcours de ces films en compagnie de Hadja Lahbib, mettant en évidence la pédagogie de l’école autour du documentaire.
Conférence et projection – Lara Gasparotto, photographe
Le travail de Lara Gasparotto procède d’une dynamique des rapports entre les images. Pour sa génération, le noir et blanc et la couleur, la pose et l’instantané, le style documentaire ou la recherche symbolique, la reproduction et l’original se conjuguent sans cesse, ignorant les catégories et les écoles. Une image vernaculaire, une référence historique ou bien encore un montage fortuit voire une négligence technique ne sont jamais pensés en terme de valeur aux côtés d’un portrait ou d’un paysage. On pourrait le dire aussi des schémas rhétoriques : pas de narration à proprement parler ni de chronique quotidienne ni, à l’inverse, de séquences conceptuelles thématiques ou littéralistes. L’univers du travail de Lara Gasparatto participe de cette réinvention de la grammaire photographique au début du XXIe siècle. (Présentation de Michel Poivert, Extrait de la préface du livre “Rivages”, paru aux Editions Lannoo en 2014.)
Mercredi 4 mai à 18h30 à l’INSAS (Cinéma) – Salle 35 mm, 8 Rue Thérésienne 1000 Bruxelles