Les Tomates écrasées

Anderlecht, aux détours des rues la mémoire remonte à la surface.

Réalisé par Judith Ribardière.

L’exercice « Documentaire radiophonique » propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication.

L’INSAS au Centre Pompidou

Le travail de fin d’études sous la direction d’Ingrid von Wantoch Rekowski a été produit dans deux lieux insolites pour du théâtre : le Musée d’ Ixelles et le Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou…
L’opération s’est déroulé dans le cadre des «Jeudi’s» du Centre G.Pompidou qui invite des écoles d’arts françaises et européennes à proposer des soirées où les étudiants confrontent leurs démarches artistiques au musée et à ses œuvres.

L’Insas était l’invité de ce «Jeudi’s» 17 juin.

Nos étudiants de dernière année «Interprétation dramatique» et de 3ème année «Écritures scéniques» ont relevés le défi, tentant d’amener, avec les moyens du théâtre, un regard autre sur des œuvres choisies dans les collections du Musée d’Ixelles et du Centre Pompidou.. Mêlés au public, ensemble ou en petits groupes, curieux et extravagants, ils ont incarnés des visiteurs étranges au comportement singulier, surprenant et ludique, s’arrêtant devant certaines œuvres pour réagir et commenter tel détail, tel élément de composition, telle histoire, avec leurs outils de théâtre.

Cette expérience s’est révélée enrichissante tant pour les étudiants que pour le public venu nombreux.

Ci-après vous trouverez le texte du courrier de remerciement de Florence Morat , chef de projet du service de l’action éducative au Centre Pompidou :

Bonjour à toutes et à tous,

Ceci est un message à tous celles et ceux qui ont participé de près ou de loin à la soirée du jeudi’ 17 juin 2010 au centre Pompidou.

Nous souhaitions remercier vivement, au nom de toute l’équipe du Centre Pompidou, tous les étudiants et tous les professeurs qui ont participé à la soirée de nocturne au Musée national d’art moderne, jeudi 17 juin 2010. Les comédiens et techniciens ont donné le meilleur d’eux même, tant dans la rigueur, que dans la création et l’investissement personnel. L’humour, et la surprise étaient au rendez-vous pour le plus grand plaisir des visiteurs venus voir Lorette et M.K sur Fond bleu. Pari réussi qui viendra enrichir la mémoire du Musée national d’art moderne, et qui pour cette occasion a été investit par cette jeune génération, dont le regard compte.

Bravo à tous et bonnes vacances !

Kristell , Erica et
Florence Morat

Interprétation Rehab Benhsaine, Charlotte Bouriez, Aurore Lerat, Fabien Magry, Tristan Schotte Techniques de plateau, assistanats Céline Beigbeder, Vanessa Bonnet, Dominique Colin, Ledicia Garcia, Melinda Heeger, Dominique Llorca, Meryl Moens, Arthur Oudar, Laura Rodriguez, Margueritte Topiol Professeurs associés Michel Boermans, Christine Grégoire, Manon Ledune, Jean-Marie Piemme, Julie Petit-Etienne, Anne Sollie assistés par Florence Richard, Serge Gabet et Bénédicte Bracke.

Une production de L’INSAS et de l’asbl Les Amis de l’INSAS, en co-production avec le Centre Pompidou, Musée national d’art moderne à Paris et avec le soutien du Ministre-Président de la Communauté française et le soutien du Ministre de l’Enseignement Supérieur.. En collaboration avec le Musée d’Ixelles et à l’initiative de Willy Decourty, Bourgmestre, Yves de Jonghe d’Ardoye, Echevin de la Culture, Pascal Dufour, Echevin des Affaires néerlandophones, et des membres du Collège des Bourgmestre et Echevins d’Ixelles.

Lors de votre séance…

Parce que parfois on n’a pas toutes les réponses, à ses fantasmes, à ses désirs, à ses pulsions, Antoine finit par franchir la porte de L. Pour repousser les limites de son corps et de son esprit, il s’autorise une visite à la fragile frontière entre acceptable et déviant. Où il n’est finalement que question de tester les limites de la sacro-sainte normalité à l’aune de sa propre transgression. Octavie Piéron est étudiante à l’INSAS et pour son travail sonore, elle a réalisé une étonnante visite chez une maitresse femme qui pratique le SM, le sado masochisme; tout est feutré et tendu, là où l’image interdirait la confidence et la confiance, pour la rencontre entre une femme et son client en quête d’expériences et de sensations.

L’exercice « Documentaire radiophonique » propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication.

Taxi

Elle roule, la nuit, dans Paris. Elle est taxi de nuit. Au détour des clients, du compteur et des heures qui défilent, elle se raconte.

L’exercice “Documentaire radiophonique” propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication.

Rennes. Bretagne. Cimetière de l’est. (2010)

Rennes. Bretagne. Cimetière de l’est. Depuis 1881, chaque jour des centaines de vivants arpentent les allées de graviers. Certains portent des seaux et des fleurs à la main, d’autres des pelles et des plaques de marbres et tous des souvenirs, des histoires. Rencontre sonore avec cette population d’êtres en vie, de bavards, mais aussi avec 60 000 silencieux.

Réalisé par Mathis Bois.

L’exercice “Documentaire radiophonique” propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication.